Je me suis cru à la Ronde avec les montagnes russes, montées et descentes vertigineuses et 3 cours d’eau traversés à gué, dont les courants étaient de plus en plus forts au point que mes bâtons vibraient rapidement, même si je changeais d’angles.
Je suis arrivé au refuge juste un peu avant la nuit, trop sombre pour prendre des photos. Du dernier cours d’eau traversé, j’ai fait le reste du chemin en croc mouillés, trop fatigué pour changer encore de soulier et j’avais hâte d’arriver.
Le refuge est très propre, rien à voir avec le précédent.
Roger